Tout a commencé par un beau jour ; ou plutot par un jour pluvieux car toute saison commence "mouillée" ; de l’année 1989, lorsque quelques membres assidus, pour ne pas dire "piliers" du bar LE ROOSEVELT géré par le trés honorable Bernard dit Nanard GAUL ; ont donc décidé de sacrifier leur oisiveté bacchusienne à leur passion du sport. Sport le plus noble et le plus viril s’il en est ; j’ai nommé le seul, l’unique : LE RUGBY. Donc pour se faire, monsieur Nanard, par une malicieuse initiative proposa à ses clients attachés et attachants ; l’élaboration d’une équipe au vu d’un article journalistique retraçant les exploits de plusieurs équipes engagées dans un challenge amateur, bien évidemment. Mais comment mettre en oeuvre un tel projet me direz-vous ? Quoi de plus aisé lorsque les bonnes volontés s’y attélent... Encore fallait-il trouver les tailles et gabarits adéquats car une équipe de rugby digne de ce nom, ne peut se permettre d’être élaborrée comme un troupeau de bétail. (quoiqu’ au regard du poids du pack, on pourrait s’y méprendre, mais bon... )

En ce qui concerne l’année 90, les choses se mirent à singuliérement changer. tout d’abord, des mouvements radicaux eurent lieu au sein l’équipe, quelques bonnes volontés s’en allérent vaquaient à d’autres occupations et il fallait de nouveau recruter. Tous ces changements peuvent paraitre plus assimilables à des feuilletons télés qu’à la réalité sportive mais néanmoins on se jurait sur les grands dieux de continuer, malgré le vent et la tempête, la grande avanture ! Et puis avec un Nanard en chef d’orchestre que pouvait-on craindre de pire que la défaite. Les puristes en firent une sacrée tête lorsque le vent de la révolution souffla sur leur éthique étriquée et que ce bon vieux Nanard engagea au sein des ses "Hommes", deux beaux brins de filles :

- Dhooge Aline et Cavalero Nathalie.

Aussitôt quelques questions triviales fusérent :

- "Comment deux gonzesses (excusez du peu... ) peuvent jouer à un sport d’homme ? Impensable !"

A l’aube de l’année 1991, ils se croyaient enfin débarrasser de la défaite. Une année entiére à perdre, cela suffisait... Mais c’était sans compter avec la fatalité. Ah ! Pauvre petit rugbymen, à la triste mine, défaits de leurs équipiers semi-pro (si l’on peut évoquer ce paradoxe au rigby) qui s’en était allés. Ils se sentaient comme ses petits orphelins à capotes (surement : le sida connait pas) et boutons dorés (pas si dorés que ça...) Ils noyérent alors leur nullité ( Le score parle de lui même : cinq zéro sur cinq match !) dans les chopes de biéres, le breuvage des dieux... Un peu déchus et surtout déçus les dieux. Au fil des troisiéme mi-temps noyées et plus que noyées, ils eurent une étincelle de lucidité et creérent Marcel.

Vous ne connaissez pas Marcel ? Mince, quelle omission... car vous manquez quelque chose de phénoménal ! Et quel phénoméne ce Marcel ! comment vous dire.. enfin une... bref une mascotte... avec des... des symboles de virilité masculines, si vous voyez ce que je veux dire... Oh ! et puis zut, achetez plutôt le tee-shirt, vous en saurez plus. De toute maniére vous ne risquez rien. Alors !

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